par souci de lisibilité j'ai couper le récit =D excusez moi du double poste
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Frappant a toute les portes de l’étage je rentrais dans les classe prévenir qu’il y’avais un feu dans le bâtiment un professeur me dit de me taire et de sortir, les cinq autres ordonnèrent a leurs élèves de sortir immédiatement.
Moi de mon coté je descendais au deuxième étage par les escaliers d’où ne montaient aucune fumée.
Malheureusement arrivé à cet étage le sol juste derrière mes pieds s’effondrait manquant de m’emporter avec lui.
Dans l’ouverture béante et torturée on pouvais apercevoir les restes calcinés d’une poutre et les débris du sol que j’avais frôlé un instant plus tôt.
La température grimpa en flèche, et une odeur acre montait du vide dans le sol.
Suant a grosse goute je commençais a courir toutes les salles de l’étage étaient vides.
J’essayais de me souvenir de ces stupides cours d’évacuation en mettant mon t-shirt comme un passe montagne pour protéger ma bouche et mon nez des cendres montant dans le couloir.
Je risquais encore un coup d’œil derrière moi, celui-ci me glaça le sang.
Derrière moi les flammes léchaient les parois et dévoraient le plafond, je me trouvais juste en dessous de la classe du professeur qui n’avais pas voulu m’écouter.
Terrifier par ce qui allais arriver je me stoppais quelque mètres plus loin et dans un craquement terrible le plafond céda. Projetant des débris a tout va, les flammes déjà léchaient les meubles de la salle, mais aucun cris, je me serrais tromper ou auraient t-ils fuient.
Peu m’importais le seul fait qu’ils soient en vie me suffisait.
Alors comme une balle une idée me percuta la tête.
Baisse ta tête et cours vers l’escalier suivant protège absolument ta bouche.
En dessous se trouvaient des toilettes, avec un peu de chance j’y aurais trouvé de l’eau parce que la chaleur était monté, on se serrait cru dans un four.
Je me suis mis alors a courir a en perdre haleine.
Quand j’ai atteint l’escalier les neufs derniers marches manquait.
A présent les cendres montaient directement vers moi et du plâtre tombait du plafond.
Apres une profonde inspiration je me suis risquer dans cet escalier, celui-ci me rappelais l’escalier des enfers, arrivé aux fameuse marches manquantes je me suis accrocher a la rambarde et me suis laisser glisser.
Sortant de la cage d’escalier, je ne vis que désolation dans ce couloir, proie des flammes mais il restait un petit passage, le seul problème était de passer sous une poutre enflammée et entres divers débris flamboyant..
Je ne pouvais plus reculer, alors résigner et avec la force du désespoir je me suis lancer a travers ce labyrinthe de tissons enflammés.
Une fois la poutre évité j’ai du passer entre une succession de tables brulantes.
L’air devenait de plus en plus oppressant et les cendres chaudes n’arrangeaient rien.
Les 5 derniers mètres furent un véritable parcourt du combattant j’ai du passer sous un bureau a quatre pate tête baisée éviter la chute d’un morceau de plafond, sauter au dessus d’une chaise ardente et enfin ouvrir la porte de la cage d’escalier du premier étage a coup de pied , des flammes commençant a écailler la peinture de celle-ci.
Apres toutes ces épreuves j’entendis au milieu des craquements des flammes et des crépitements des meubles qui le nourrissaient, j’ai entendu une plainte, suivie d’un râle et d’une quinte de toux.
En une dizaine de secondes j’ai décidé de reculer pour vérifier ce qui se passait
Dans une des salles bordant le couloir un jeune garçon ainsi qu’une petite fille se serraient sous un bureau encore épargné des flammes.
Enjambant une chaise cassée je les ai rejoints.
« les enfants mettez vos t-shirt contre vos bouches et votre nez et suivez moi. »
En disant cela je reçu sur l’épaule un tison ardent tombant du plafond.